La Bible et l'archéologie

Vous trouverez ci-dessous la bibliographie détaillée de mon ouvrage :
M. Richelle, La Bible et l’archéologie, Edifac/Excelsis, Vaux-sur-Seine/Charols, 2011, 152 p.
Il est aussi possible de la télécharger en PDF ici.
Comme indiqué à la fin du livre, les publications utilisées sont en effet bien trop nombreuses pour y figurer en notes. Cependant, certains lecteurs pourraient souhaiter vérifier telle ou telle affirmation, aller directement à la source, ou simplement se renseigner davantage sur tel ou tel point. J’ai donc tenu à fournir une liste détaillée de références, chapitre par chapitre, en essayant d’être le plus précis possible. Je ne me suis pas contenté d’indiquer une liste de livres et d’articles comme on le fait souvent, car cela laisse encore au lecteur la tâche de fouiller dans tout cela pour trouver la publication précise et les pages précises concernées par tel sujet qui l’intéresse. Au contraire, si au cours de la lecture d’une page quelconque un lecteur veut trouver la source d’une affirmation donnée, il lui suffira de chercher le n° de la page ci-dessous. Pour simplifier l’usage de cette bibliographie, j’ai indiqué à chaque fois les références complètes, le lecteur n’ayant ainsi pas besoin de chercher plus haut les renseignements complets.
Outre les abréviations usuelles pour les revues et collections, j’ai utilisé celles-ci qui reviennent souvent :
  • NEAEHL renvoie à E. Stern, A. Lewinson-Gilboa, J. Aviram (éd.), The New Encyclopedia of Archaeological Excavations in the Holy Land, vol. 1-4, Jerusalem, Israel Exploration Society/Carta, 1993, et au volume 5 (mise à jour): E. Stern, H. Geva, A. Paris et J. Aviram (éd.), The New Encyclopedia of Archaeological Excavations in the Holy Land, vol. 5. Supplementary volume, Jerusalem/Washington, Israel Exploration Society/Biblical Archaeology Society, 2008.
  • CoS renvoie à W. Hallo et K.L. Younger (éd.), The Context of Scripture (vol.1: Canonical Compositions from the Biblical World, vol.2: Monumental Inscriptions from the Biblical World, vol. 3: Archival Documents from the Biblical World), Leiden/Boston, Brill, 2003.

Chapitre 1 : Ce que découvrent les archéologues
·    P. 14-15, sur l’identification de Bethsaïda :
  • R.S. Notley, « Et-Tell Is Not Bethsaida », NEA 70 (2007), p. 220-230.
  • R. Arav, « Bethsaida – A Response to Steven Notley », NEA 74 (2011), p. 92-100.
  • J.F. Shroder Jr., « Response to Notley’s Comments », NEA 74 (2011), p. 100-101.
  • R.S. Notley, « Reply to Arav », NEA 74 (2011), p. 101-103.
  • R. Arav, « A Response to Notley’s Reply », NEA 74 (2011), p. 103-104.
·    P. 18-19, sur Horvat ‘Uza : I. Beit-Arieh, Horvat ‘Uza and Horvat Radum : Two Fortresses in the Biblical Negev (Monograph Series 25), Tel Aviv, Emery and Claire Yass Publications in Archaeology (Tel Aviv University), 2007, spéc. 331-337.
·    P. 20, sur Méguiddo peut-être abandonnée à la fin du 9e s. :
  • I. Finkelstein, « Hazor and the North in the Iron Age », BASOR 314, p. 55-70, spéc. 64-65.
  • I. Finkelstein, A . Fantalkin et E. Piasetzky, « Three Snapshots of the Iron IIa : The Northern Valleys, the Southern Steppe, and Jerusalem », dans L.L. Grabbe (éd.), Israel in Transition. From Late Bronze II to Iron Iia (1250-850 B.C.E.), vol. 1 : The Archaeology (LHB/OTS 491), New York/London, T & T Clark  2008, p. 32-44, spéc. 32.
·    P. 21, sur Tel Réhov (surface divisée de moitié, date de la destruction) :
  • A. Mazar, « The 1997-1998 Excavations at Tel Rehov: Preliminary Report », IEJ 49 (1999), p. 2.
  • A. Mazar et I. Carmi, « Radiocarbon Dates from Iron Age Strata at Tel Beth Shean and Tel Rehov », Radiocarbon 43 (2001), p. 1333-1342.
  • H. Bruins, A. Mazar et J. van der Plicht, « 14C Dates from Tel Rehov : Iron Age Chronology, Pharaohs, and Hebrew Kings », Science 300 (2001), p. 315-318.
  • E.-A. Knauf, « Low and Lower ? New Data on Early Iron Age Chronology from Beth Shean, Tel Rehov and Dor », BN 112 (2002), p. 21-27.
  • I. Finkelstein, « Tel Rehov and Iron Age Chronology », Levant 36 (2004), p. 181-188.
  • I. Finkelstein, « High of Low : Megiddo and Rehov », dans T. Levy et T. Higham (éd.), The Bible and Radiocarbon Dating. Archaeology, Text and Science, London, Equinox 2005, p. 302-309.
  • A. Mazar, H. J. Bruins, N. Panitz-Cohen et J. van der Plicht, « Ladder of Time at Tel Rehov : Stratigraphy, Archaeological Context, Pottery and Radiocarbon Dates », dans T. Levy et T. Higham (éd.), The Bible and Radiocarbon Dating. Archaeology, Text and Science, London, Equinox 2005, p. 193-255.
  • I. Finkelstein et E. Piasetzky, « The Iron I-IIA in the Highlands and Beyond : 14C Anchors, Pottery Phases and the Shoshenq I Campaign », Levant 38 (2006), p. 45-61.
  • Z. Herzog et L. Singer-Avitz, « Sub-Dividing the Iron Age IIA in Northern Israel : A Suggested Solution to the Chronological Debate », TA 33 (2006), p. 163-195.
  • I. Finkelstein, A . Fantalkin et E. Piasetzky, « Three Snapshots of the Iron IIa : The Northern Valleys, the Southern Steppe, and Jerusalem », dans Grabbe (éd.) 2008, p. 32-44.
  • A. Mazar, « Rehov, Tel », dans NEAEHL 5, p. 2013-2018, spéc. 2018.
  • site web officiel des fouilles.
·    P. 21, sur la reconstruction de Hatsor dans la 1e moitié du 8e s. (correspondant essentiellement à Hasor VI selon Yadin, Ben-Tor, Tappy, Finkelstein, tandis que pour Herzog et Singer-Avitz la période 800-732 est couverte par les strates VIII et VII) :
  • Y. Yadin et A. Ben-Tor, « Hazor », dans NEAEHL 2, p. 594-606.
  • R.E. Tappy, The Archaeology of Israelite Samaria. Volume I : Early Iron Age Through the Ninth Century (HSS 44), Winona Lake, Eisenbrauns, 1992, Appendice A.
  • I. Finkelstein, « Hazor and the North in the Iron Age », BASOR 314 (1999), p. 55-70, spéc. 65 tableau 1.
  • A. Fantalkin et I. Finkelstein, « The Sheshonq I Campaign and the 8th-Century-BCE Earthquake – More on the Archaeology and History of the South in the Iron I-IIA », TA 33 (2006), p. 18-42
  • Z. Herzog et L. Singer-Avitz, « Sub-Dividing the Iron Age IIA in Northern Israel : A Suggested Solution to the Chronological Debate », TA 33 (2006), p. 163-195.
  • A. Ben-Tor, « Hazor », dans NEAEHL 5, p. 1769-1776.
  • Site web des fouilles.
·    P. 21, sur l’extension des constructions à Samarie dans la 1ère moitié du 8e s. : R.E. Tappy, The Archaeology of Israelite Samaria. Volume II: The Eighth Century BCE (HSS 44), Winona Lake, Eisenbrauns, 2001, p. 172.
·    P. 21, sur la reconstruction de Yokné‘am (XII) dans la 1e moitié du 8e s. :
  • A. Zarzeki-Peleg, « Hazor, Jokneam and Megiddo in the Tenth Century B.C.E. », TA 24 (1997), p. 258-288.
  • Z. Herzog et L. Singer-Avitz, « Sub-Dividing the Iron Age IIA in Northern Israel : A Suggested Solution to the Chronological Debate », TA 33 (2006), p. 163-195.
·    P. 21, de manière générale, sur la période 800-750 en Israël d’un point de vue archéologique :
  • I. Finkelstein, « Stages in the Territorial Expansion of the Northern Kingdom », VT 61 (2011), p. 227-242, spéc. 240-242.
  • M. Richelle, Le royaume d’Israël dans la seconde moitié du VIIIe s. av. n. è. Analyse critique des sources épigraphiques, bibliques et archéologiques, thèse de doctorat sous la direction d’A. Lemaire, soutenue le 10/12/10, Paris, EPHE (4e section), p. 572- 647, consultable en bibliothèque ; publication en préparation.
·    P. 22, sur la multiplication démographique en Canaan au 12e s. : W.G. Dever, Aux Origines d’Israël. Quand la Bible dit vrai, Paris, Bayard, 2003, p. 101-112, spéc. 110.
·    P. 22, sur la multiplication démographique en Juda au 8e s. et l’hypothèse d’un afflux de réfugiés du royaume du Nord :
  • I. Finkelstein et N. A. Silberman, « Temple and Dynasty : Hezekiah, the Remaking of Judah and the Rise of the Pan-Israelite Ideology », JSOT 30 (2006), p. 259-285.
  • N. Na’aman, « The Growth and Development of Judah and Jerusalem in the Eighth Century BCE: A Rejoinder », RB 116 (2009), p. 321-35 [contre cette hypothèse].
·    P. 22, sur la chute démographique du 6e s. et l’estimation de Lipschits :
  • O. Lipschits, « Demographic Changes in Judah between the Seventh and the Fifth Centuries b.c.e. », in O. Lipschits et J. Blenkinsopp (éd.), Judah and the Judeans in the Neo-Babylonian Period, Winona Lake, Eisenbrauns, 2003, p. 323-376.
  • O. Lipschits, The Rise and Fall of Jerusalem. Judah under Babylonian Rule, Winona Lake, Eisenbrauns, 2005, p. 261-271.
·    P. 22, sur la rue pavée de Tall Jalul : observation lors d’une visite sur place.
·    P. 23, sur le palais de Samarie, son architecture et ses ivoires :
  • J. W. Crowfoot, K. M. Kenyon et E. L. Sukenik, The Buildings at Samaria, Samaria-Sebaste I, London, Palestine Exploration Fund, 1942.
  • J. W. Crowfoot, G. M. Crowfoot et K. M. Kenyon, The Objects from Samaria, Samaria-Sebaste III, London, Palestine Exploration Fund, 1957.
  • N. Avigad, « Samaria (City) », dans NEAEHL 4, p. 1300-1310.
  • J. W. Crowfoot, et G. M. Crowfoot, Early Ivories from Samaria, Samaria-Sebaste II, London, Palestine Exploration Fund, 1938 [publication initiale].
  • C.E. Suter et C. Uehlinger (éd.), Crafts and Images in Contact. Studies in Eastern Mediterranen art of the first millennium B.C.E. (OBO 210), Fribourg/Göttingen, Fribourg Academic Press/Vandenhoeck & Ruprecht, 2005.
·    P. 24-27, sur le complexe cultuel de Tel Dan:
  • A. Biran, « Dan », dans NEAEHL 1, p. 323-332.
  • A. Biran, Biblical Dan, Jerusalem, Israel Exploration Society, 1994. 
  • A. Biran, « « Dan », dans NEAEHL 5, p. 1686-1689.
  • E. Arie, « Reconsidering the Iron Age II Strata at Tel Dan : Archaeological and Historical Implications », TA 35 (2008), p. 6-64 (pour une autre proposition de datations que celle de Biran).
·    P. 27-28, sur la découverte du « Broad Wall » de Jérusalem :
  • N. Avigad et H. Geva, « Iron Age II Strata 9-7 », dans H. Geva (éd.) Jewish Quarter Excavations in the Old City of Jerusalem conducted by Nahman Avigad, 1969-1982, vol. 1: Architecture and Stratigraphy: Areas A, W and X-2, Jerusalem, Israel             Exploration Society, 2000, p. 44-129, spéc. 45-61. 
  • H. Geva « Summary and discussion of Findings from Areas A, W and X-2 », in Geva (éd.) Jewish Quarter Excavations in the Old City of Jerusalem conducted by Nahman Avigad, 1969-1982, vol. 2: The Find from Areas A, W and X-2, Jerusalem, Israel Exploration Society, 2003, p. 501-552, spéc. 511-513.
·    P. 29-30, sur la porte de Bethsaïda : R. Arav, « Bethsaida (Et-Tell) », dans NEAEHL 5, p. 1611-1616, spéc. 1614-1615.
·    P. 30, sur le sanctuaire adjacent à la porte de Khirbat al-Mudaynah ath-Thamad et l’autel à encens portant une inscription :
  • P. M. M. Daviau et P.-E. Dion, « An Inscribed Altar of Iron Age II at irbet el-Mudēyine (Jordan), ZDPV 116, 2000, p. 1-13.
  • A.F. Rainey, « The New Inscription from Khirbet el-Mudeiyineh », IEJ 52 (2002), p. 81-86.
  • B. Routledge, « A Comment on A.F. Rainey’s ‘The New Inscription from Khirbet el-Mudeiyineh’ », IEJ 53 (2003), p. 192-195.
  • S. Ahituv, Echoes from the Past, Jerusalem, Carta, 2008, p. 423-426.
·    P. 30-31, sur le complexe de la porte de Dan à l’âge du fer et le « piédestal » avec supports en forme de citrouilles, voir les références déjà citées plus haut de Biran au sujet des p. 24-27.
·    P. 31, sur la « Porte des Poissons » et le possible commerce de Tyriens à Jérusalem : B.J. Noonan, « Did Nehemiah Own Tyrian Goods ? Trade Between Judea and Phoenicia during the Achaemenid Period », JBL 130 (2011), p. 281-298.
·    P. 31-32, sur l’inscription « mesure-kad de la porte » : I. Eph‘al et J. Naveh, « The Jar of the Gate », BASOR 289 (1993), p. 59-65.
·    P. 32, sur la surface moyenne d’une maison israélite : A. Faust, « Differences in Family Structure Between Cities and Villages in Iron II », TA 26 (1999), p. 233-252, spéc. 238-239.
·    P. 33, sur la maison de Tall al-‘Umayri : L.G. Herr et D.R. Clark, « From the Stone Age to the Middle Ages in Jordan : Digging Up Tall al-‘Umayri », NEA 72 (2009), p. 68-97, spéc. 83-89.
·    P. 33, sur les maisons découvertes à al-Lahun : I.M. Swinnen, «  The Iron Age I Settlement and Its Residential Houses at al-Lahun in Moab, Jordan », BASOR 354 (2009), p. 29-53.
·    P. 34, sur la répartition des bâtiments tripartites à piliers : J.A. Blakely, « Superposer deux cartes. Une preuve archéologique en faveur de l’existence du royaume de David et Salomon », Hokhma 96 (2009), p. 120-129 (traduit de l’anglais par A. Décoppet, initialement publié dans BASOR 327 [2002], p. 49-54).
·    P. 34, sur le matériel découvert dans les bâtiments à piliers de Béer-Shéba : Z. Herzog, « The Storehouses », dans Y. Aharoni (éd.), Beer-Sheba I, Tel Aviv, 1973, p. 23-30.
·    P. 34-35, sur l’interprétation des bâtiments à piliers de Méguiddo comme écuries :
  • D.O. Cantrell et I. Finkelstein, « A Kingdom for a Horse. The Megiddo Stables and Eighth Century Israel », dans I. Finkelstein, D. Ussishkin et B. Halpern (éd.), Megiddo IV. The 1998-2002 Seasons (Monograph Series 24), Tel Aviv, Tel Aviv University, 2006, p. 643-665.
  • I. Finkelstein, D. Ussishkin and B. Halpern, “Archaeological and Historical Conclusions”, in Finkelstein, Ussishkin et Halpern (eds), Megiddo IV. The 1998-2002 Seasons, vol. 2 (Monograph Series 24), Tel Aviv, Tel Aviv University Press, 2006, p. 856-857 (opinion de Halpern qui ne croit pas qu’il s’agit d’écuries).
·    P. 36, sur les bâtiments à piliers de Khirbat al-Mudaynah ath-Thamad :
  • P. M. M. Daviau et P.-E. Dion, « Economy-Related Finds from Khirbat al-Mudayna (Wadi ath-Thamad, Jordan) », BASOR 328 (2002), p. 31-48, spéc. 46.
  • P. M. M. Daviau et al., « Preliminary Report of Excavations and Survey at Khirbat al-Mudayna ath-Thamad and in Its Surroundings (2004, 2006 and 2007) », ADAJ 52 (2008), p. 344-345.
·    P. 36ss, sur la vie quotidienne en Israël, le livre suivant est excellent : P. J. King et L. E. Stager, Life in Biblical Israel, Library of Ancient Israel, Louisville, Westminster John Knox Press, 2001.
·    P. 36-37, sur les ostraca de Samarie :
  • A. Lemaire, Inscriptions hébraïques, tome 1 : Les ostraca, (LAPO 9), Paris, Cerf, 1977, p. 20-81.
  • S. Ahituv, Echoes from the Past, Jerusalem, Carta, 2008, p. 258-310.
  • M. Richelle, Le royaume d’Israël dans la seconde moitié du VIIIe s. av. n. è. Analyse critique des sources épigraphiques, bibliques et archéologiques, thèse de doctorat sous la direction d’A. Lemaire, soutenue le 10/12/10, Paris, EPHE (4e section), p. 24-206, consultable en bibliothèque ; publication en préparation.
·    P. 38-40, sur l’alimentation à Kinnéret : S. Münger, J. Zangenberg et J. Pakkala, « Kinneret – An Urban Center at the Crossroads : Excavations on Iron IB Tel Kinrot at the Lake of Galilee », NEA 74 (2011), p. 68-90, spéc. 80-81, 86.
·    Sur l’alimentation des Israélites, on peut lire : N. MacDonald (sic), What Did the Ancient Israelites Eat ? Diet in Biblical Times, Grand Rapids/Cambridge, Eerdmans, 2008.
·    P. 40, sur la grande maison de Sichem : E. F. Campbell, « Archaeological Reflections on Amos’s Targets », dans M. D. Coogan, J. C. Exum et L. E. Stager (éd.), Scripture and Other Artifacts. Essays on the Bible and Archaeology in Honor of Philip J. King, Louisville, John Knox Press, 1994, p. 32-52.
·    P. 41, sur la grande maison de Beth-Shéan : A. Mazar, « Analysis of Stratum P-7 Building 28636 », dans A. Mazar (éd.), Excavations at Tel Beth-Shean, 1989-1996, Vol. 1, Jerusalem, Israel Exploration Society, The Hebrew University of Jerusalem, 2006, spéc. 272.
·    P. 41, sur les quartiers « riche » et « pauvre » à Hatsor selon Faust: A. Faust, « Socioeconomic Stratification in an Israelite City : Hazor VI as a Test Case », Levant 31 (1999), p. 179-190.
·    P. 41, sur l’alimentation à Tel Réhov: N. Marom, N. Raban-Gerstel, A. Mazar et G. Bar-Oz, « Backbone of Society : Evidence for Social and Economic Status of the Iron Age Population of Tel Rehov, Beth Shean Valley, Israel », BASOR 354 (2009), p. 55-75.
·    P. 41-42, sur les prospections de surface de Zertal : A. Zertal, «  The Heart of the Monarchy: Pattern of Settlement and Historical Considerations of the Israelite Kingdom of Samaria », in Mazar (éd.), Studies in the Archaeology of the Iron Age in Israel and Jordan (JSOTSup 331), Sheffield, Sheffield Academic Press, 2001, p. 38-64.
·    P. 42, sur les statuettes féminines : W.G. Dever, Did God Have a Wife ? Archaeology and Folk Religion in Ancient Israel, Grand Rapids/Cambridge, Eerdmans, 2005, p. 176-251.
·    P. 44, sur les inscriptions de Khirbet el-Qôm (CoS 2.52) :
  • W. Dever, « Iron Age Epigraphic Material from the Area of Khirbet el-Kôm », HUCA 40/41 (1970), p. 139-205.
  • A. Lemaire, « Les inscriptions de Khirbet El-Qôm et l’Ashérah de Yhwh », RB 84 (1977), p. 595-608.
  • Z. Zevit, The Religions of Ancient Israel. A Synthesis of Parallactic Approaches, London/New York, Continuum, 2001, p. 350-438.
·    P. 44, sur les inscriptions de Kuntillet ‘Ajrud (CoS 2.47) :
  • Z. Meshel, Kuntillet ‘Ajrud : A Religious Centre from the Time of the Judean Monarchy on the Border of Sinai. Israel Museum Cat. N°175, 1978.
  • A. Lemaire, « Date et origine des inscription paléo-hébraïques et phéniciennes de Kuntillet ʿAjrud », SEL 1 (1984), p. 131-143.
  • Z. Meshel, « Kuntillet ʿAjrûd », dans ABD 4, p. 103-109.
  • J. Renz, HAE I, p. 47-64.
  • Dobs-Allsopp et al., HI, p. 277-298.
  • S. Ahituv, Echoes from the Past, Jerusalem, Carta, 2008, p. 313-329.
·    P. 44, sur les graffiti de Khirbet Beit Lei (CoS 2.53) :
  • A. Lemaire, « Prières en temps de crise : les inscriptions de Khirbet Beit Lei », RB 83 (1976), p. 558-568.
  • Z. Zevit, The Religions of Ancient Israel. A Synthesis of Parallactic Approaches, London/New York, Continuum, 2001, p. 435.
  • S. Ahituv, Echoes from the Past, Jerusalem, Carta, 2008, p. 233-236.
·    P. 44, sur les papyri d’Éléphantine (CoS 3.46-53) : B. Porten et al., The Elephantine Papyri in English. Three Millenia of Cross-Cultural Continuity and Change, Leiden/New York/Köln, Brill, 1996.
·    P. 44-45, sur l’ostraca araméen d’Idumée publié par Lemaire et mentionnant des temples : A. Lemaire , « New Aramaic Ostraca from Idumea », dans O. Lipschits et M. Oeming (éd.), Judah and Judeans in the Persian Period, Winona Lake, Eisenbrauns, 2006, p. 417.
·    P. 45, sur le sceau inscrit en caractères sud-arabiques découvert à Béer-Shéba et sur l’inscription sud-arabique publiée en 2009 par Bron et Lemaire :
·    P. 45, sur la céramique chypriote à Tel Réhov A. Mazar, « Rehov, Tel », dans NEAEHL 5, p. 2013-2018, spéc. 2018.
·    P. 46, sur les traces d’un tremblement de terre au 8e s. :
  • À Hatsor : Y. Yadin et A. Ben-Tor, « Hazor », dans NEAEHL 2, p. 601.
  • À  Deir ‘Alla: H. Franken et M. Ibrahim, « Two Seasons of Excavations at Deir ʿAlla, 1976-78 », ADAJ 22 (1977/78), p. 57-79.
  • À Méguiddo: A. Fantalkin et I. Finkelstein, « The Sheshonq I Campaign and the 8th-Century-BCE Earthquake – More on the Archaeology and History of the South in the Iron I-IIA », TA 33 (2006), p. 18-42 (dans le même article les auteurs estiment qu’on ne trouve pas de traces de ce tremblement de terre dans les sites judéens).
  • À Guézer: W.G. Dever, « A Case-Study in Biblical Archaeology : The Earthquake of ca. 760 b.c.e. », dans E. Stern et T. Levy (éd.), Avraham Biran Volume, (EI 23), 1992, p. 27*-35*.
  • À Tell es-Safi/Gath: http://gath.wordpress.com/ (message ajouté le 28 juillet 2010; voir aussi une vidéo postée le 3 août 2010).
·    P. 47, sur la conquête de Lachish : D. Ussishkin, The Conquest of Lachish by Sennachérib, Tel Aviv, Tel Aviv University, 1982.

Chapitre 2 : Les inscriptions : quand les pierres parlent
·    Pour un guide très complet des textes du Proche-Orient ancien, avec bibliographies extensives : K.L. Sparks, Ancient Texts for the Study of the Hebrew Bible. A Guide to the Background Literature, Peabody, Hendrickson, 2005.
·    Pour un recueil de traductions anglaises de textes proche-orientaux : CoS.
·    P. 50, sur le code d’Hammourabi (CoS 2.131) :
  • A. Finet, Le Code de Hammurabi (LAPO 6), Paris, Cerf, 2002.
  • M.-J. Seux, Lois de l’Orient Ancien (CEvSup 56), Paris, Cerf, 1986, p. 29-73.
·    P. 50-52, sur le fragment de stèle de la citadelle d’Amman (CoS 2.24) :
  • W. E. Aufrecht, A Corpus of Ammonite Inscriptions, Edwin Mellen, Lewiston, 1989, p. 154-163.
  • A. Lemaire, « Prophètes et Rois dans les inscriptions ouest-sémitiques (IXe-VIe siècle av. J.-C.) », dans A. Lemaire (éd.), Prophètes et Rois, Bible et Proche-Orient, Paris, Cerf, 2001, p. 85-11.
  • S. Ahituv, Echoes from the Past, Jerusalem, Carta, 2008, p. 357-362.
·    P. 52-53, sur la stèle de Mésha (CoS 2.23) :
  • A. Dearman (éd.), Studies in the Mesha Inscription and Moab (Archaeology and Biblical Studies 2), Atlanta, 1989.
  • A. Lemaire, « La stèle de Mésha et l’histoire de l’ancien Israël », dans D. Garonne et F. Israel (éd.), Storia e  tradizioni di Israele : Scritti in onore di J. Alberto Soggin, (Brescia: Paideia), 1991, p.143-169.
  • A. Lemaire, « ‘House of David’ restored in Moabite Inscription », BAR 20/3 (1994), p. 30-37.
  • S. Ahituv, Echoes from the Past, Jerusalem, Carta, 2008, p. 389-418.
·    P. 54, sur la « nouvelle inscription moabite » :
  • S. Ahituv, « A New Moabite Inscription », Israel Museum Studies in Archaeology 2 (2003), p. 3-10.
  • A. Lemaire, « Essai d’interprétation historique d’une nouvelle inscription monumentale moabite », Comptes-Rendus de l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres 2005, p.  95-108.
  • S. Ahituv, Echoes from the Past, Jerusalem, Carta, 2008, p. 419-423.
·    P. 54-57, sur la stèle de Dan (CoS 2.39) :
  • A. Biran et J. Naveh, « An Aramaic Stele Fragment from Tel Dan », IEJ 43 (1993), p. 81-98.
  • A. Biran et J. Naveh, « The Tel Dan Inscription : A New Fragment », IEJ 45 (1995), p. 1-18.
  • A. Lemaire, « Épigraphie palestinienne : Nouveaux Documents. I. Fragment de stèle araméenne de Tell Dan (IXe s. av. J.-C.) », Henoch 16 (1994), p. 87-93.
  • A. Lemaire, « The Tel Dan as a Piece of Royal Historiography », JSOT 81 (1998), p. 3-14.
  • S. Ahituv, Echoes from the Past, Jerusalem, Carta, 2008, p. 467-473.
  • H. Hagelia, The Tel Dan Inscription. A Critical Investigation in Recent Research on Its Palaeography and Philology, Uppsala, Uppsala University Library, 2006.
  • H. Hagelia, The Tel Dan Debate. The Tel Dan Inscription in Recent Research, Sheffield, Phoenix Press, 2009 [les deux ouvrages de cet auteur fournissent une histoire de la recherche avec bibliographies détaillées].
·    P. 58, sur les annales néo-assyriennes et le tribut de Menahem, la conquête de Samarie, la déportation et l’importation de populations, on peut se référer, pour un accès rapide et commode, à :
  • L.L. Grabbe, Ancient Israel. What Do We Know and How Do We Know It ?, London, T&T Clark, 2007, p. 134-136.
  • Ou encore: J. Briend et M.-J. Seux, Textes du Proche-Orient ancien et histoire d’Israël, Paris, Cerf, 1977, p. 98-99, 109-110.
·    P. 58, sur les prophéties dans les tablettes de Mari :
  • J. Asurmendi, J.-M. Durand, R. Lebrun, E. Puech, P. Talon, Prophéties et Oracles. I Dans le Proche-Orient Ancien (CEvSup 88), Paris, Cerf, 1994.
  • M. Nissinen, Prophets and Prophecy in the Ancient Near East (Writings from the Ancient World 12), Atlanta, SBL, 2003, p. 13-77.
·    P. 59, sur la mythologie de Baal à Ougarit, parmi une grande bibliographie, voir par exemple (outre CoS 1.86) :
  • A. Caquot, M. Sznycer et A. Herdner, Textes ougaritiques, tome I : Mythes et légendes (LAPO 7), Paris, Cerf, 1974.
  • S.B. Parker, Ugaritic Narrative Poetry (Writings from the Ancient World 9), Atlanta, SBL, 1997.
·    P. 59, sur les sacrifices dans les tablettes d’Ougarit :
  • J.-M. de Tarragon, « Les rituels », dans A. Caquot, J.-M. de Tarragon et J.-L. Cunchillos, Textes ougaritiques, tome II : Textes religieux, rituels, correspondance (LAPO 14), Paris, Cerf, 1989.
  • D. Pardee, Ras-Shamra 12. Les textes rituels, 2 volumes, Paris, Éditions Recherches sur les civilisations, 2000 [publications des textes].
  • D. Pardee, Ritual and Cult at Ugarit, Leiden/Boston/Köln, Brill, 2002, p. 233-241 [comparaison avec les sacrifices du Lévitique].
·    P. 59, pour un historique des études ougaritiques et de leur impact sur l’exégèse au 20e s. : M. Smith, Untold Stories. The Bible and Ugaritic Studies in the Twentieth Century, Peabody, Hendrickson, 2001.
·    P. 60, sur les ostraca de Lachish (CoS 3.42) :
  • A. Lemaire, Inscriptions hébraïques, tome 1 : Les ostraca, (LAPO 9), Paris, Cerf, 1977, p. 83-143, spéc. 120-124 (pour l’ostracon n°6) et 100-109 (pour le n°3).
  • S. Ahituv, Echoes from the Past, Jerusalem, Carta, 2008, p. 56-91, spéc. 80-83 (pour l’ostracon n°6) et 62-69 (pour le n°3).
·    P. 60-61, sur les « bulles » : N. Avigad et B. Sass, Corpus of West Semitic Stamp Seals, Jerusalem, Israel Exploration Society, 1997 [corpus des sceaux qui pouvaient être apposées sur des bulles].
·    P. 61-62, sur l’inscription sur plâtre de Deir ‘Alla (CoS 2.27) :
  • A. Millard, « Aspects of Prophetic Writings », SBET 7 (1989/2), p. 90, 93 (idée que le texte fut recopié à partir d’un rouleau).
  • J. Hoftijzer et G. van der Kooij (éd.), The Balaam Text from Deir Alla Re-evaluated : Proceedings of the International Symposium, Leiden, 21-24 August 1989, Leiden/Copenhague/New York, Brill, 1991.
  • E. Puech, « Inscription de Deir ‘Alla : Admonitions de Bala‘am », dans J. Asurmendi, J.-M. Durand, R. Lebrun, E. Puech, P. Talon, Prophéties et Oracles. I Dans le Proche-Orient Ancien (CEvSup 88), Paris, Cerf, 1994, p. 92-95.
  • S. Ahituv, Echoes from the Past, Jerusalem, Carta, 2008, p. 433-465.
  • E. Puech, « Bala‘am and Deir ‘Alla », dans G.H. van Kooten et J. van Ruiten (éd.), The Prestige of the Pagan Prophet Balaam in Judaism, Early Christianity and Islam (Themes in Biblical Narrative : Jewish and Christian Traditions 11), Leiden/Boston, 2008, p. 25-47.
·    P. 62, sur les amulettes de Ketef Hinnom :
  • G. Barkay, « The Priestly Benediction on silver Plaques from Ketef Hinnom in Jerusalem », TA 19, (1992), p. 139-192.
  • G. Barkay, A.G. Vaughn, M.J. Lundberg et B. Zuckerman, « The Amulets from Ketef Hinnom : A New Edition and Evaluation », BASOR 334 (2004), p. 41-71.
  • S. Ahituv, Echoes from the Past, Jerusalem, Carta, 2008, p. 49-55.
·    P. 62-64, sur les manuscrits de la mer Morte : la bibliographie est immense et je me contenterai de renvoyer à l’ouvrage suivant, excellente introduction au sujet : J.C. VanderKam, The Dead Sea Scrolls Today, Grand Rapids/Cambridge, Eerdmans, ²2010.
·    P. 65, sur les restitutions de la stèle de Dan proposées par Puech :
  • E. Puech, « La stèle araméenne de Dan : Bar Hadad II et la coalition des Omrides et de la maison de David », RB 101 (1994), p. 215-241.
  • A. Biran et J. Naveh, « An Aramaic Stele Fragment from Tel Dan », IEJ 43 (1993), p. 81-98
  • A. Biran et J. Naveh, « The Tel Dan Inscription : A New Fragment », IEJ 45 (1995), p. 1-18.
·    P. 65-66, sur l’ostracon A1 de Heshbon (CoS 3.84) :
  • F.M. Cross, « Ammonite Ostraca from Heshbon », AUSS 13 (1975), p. 1-18.
  • E. Puech, « L’inscription de la statue d’Amman et la paléographie ammonite », RB 92 (1985), p. 5-24, spéc. 13-14 et fig. V.
  • M. Richelle et M. Weigl, « Hisban Ostracon A1. New Collation and New Readings », ADAJ 53 (2009), p. 127-138.
·    P. 67, sur l’ostracon de Tell es-Safi/Gath :
  • F.M. Cross et L.E. Stager, « Cypro-Minoan Inscriptions Found in Ashkelon », IEJ 56 (2006), p. 151-152.
  • A.M. Maier, S.J. Wimmer, A. Zuckerman et A. Demsky, « A Late Iron Age I/Early Iron Age II Old Canaanite Inscription from Tell es-Safi/Gath, Israel : Palaeography, Dating, and Historical-Cultural Significance », BASOR 351 (2008), p. 39-70, esp. 57-59.
·    P. 67-68, sur l’ostracon de Khirbet Qeiyafa :
  • G. Galil, « The Hebrew Inscription from Khirbet Qeiyafa/Neta’im : Script, Language, Literature and History », UF 41 (2009), p. 193-242.
  • E. Puech, « L’ostracon de Khirbet Qeiyafa et les débuts de la royauté en Israël », RB 117 (2010), p. 162-184.
  • A. Lemaire, « Philologie et épigraphie hébraïques et araméennes », Annuaire de l’EPHE, Section des Sciences historiques et philologiques » 142 (2011), mis en ligne le 23 septembre 2011. URL : http://ashp.revues.org/index1136.html. Consulté le 29 décembre 2011. (Lors de ses conférences, A. Lemaire penchait plus nettement pour l’interprétation comme liste de noms propres ayant peut-être servi comme exercice de scribe qu’il n’est indiqué dans le résumé).
  • A. Millard, « The Ostracon from the Days of David Found at Khirbet Qeiyafa », Tyndale Bulletin 62/1 (2011), p. 1-13.
·    P. 69, sur l’ossuaire de « Jacques, fils de Joseph, frère de Jésus » :
  • A. Lemaire, « Israel Antiquities Authority Report on the James Ossuary Deeply Flawed : Ossuary Update », BAR 29 (2003), p. 50-59, 67, 70.
  • S. Laurent et J.-L. Pouthier, « Une inscription controversée », Le Monde de la Bible 149 (2003), p. 62-65.
·    P. 69, sur la grenade d’ivoire (CoS 2.48) :
  • A. Lemaire , « Une inscription paléo-hébraïque sur grenade en ivoire », RB 88 (1981), p. 236-39.
  • Y. Goren et al., « A Re-examination of the Inscribed Pomegranate from the Israel Museum », IEJ 55 (2005), p. 3-20.
  • A. Lemaire, « A Re-examination of the Inscribed Pomegranate : A Rejoinder », IEJ 56 (2006), p. 167-177.
  • S. Ahituv et al., « The Inscribed Pomegranate from the Israel Museum Examined Again », IEJ 57 (2007), p. 87-95.

Chapitre 3 : Les limites de l’archéologie
·    P. 72, sur l’identification de Khirbat al-Mudayna ath-Thamad :
  • I. Finkelstein et O. Lipschits, « Omride Architecture in Moab : Jahaz and Ataroth », ZDPV 126 (2010), p. 29-42.
  • P.M.M. Daviau, « Hirbet el-Mudeyine in Its Landscape. Iron Age Towns, Forts and Schrines », ZDPV 122 (2006), p. 14-30, spéc. 1 note 6 (Daviau, à présent retraitée, a été la directrice des fouilles du site ; elle ne croit pas à son identification avec Yahats, ce que m’a confirmé oralement mon ami M. Weigl, directeur associé des fouilles).
·    P. 72, sur l’identification de Aï :
  • A. Mazar, Archaeology of the Land of the Bible. 10,000-586 B.C.E., New York/London/Toronto/Sydney/Auckland, Doubleday, 1992, p. 331-332.
  • B.G. Wood, « The Search for Joshua’s Ai », dans R.S. Hess, G.A. Klingbeil et P.J. Ray Jr. (éd.), Critical Issues in Early Israelite History (Bulletin of Biblical Research Supplement 3), Winona Lake, Eisenbrauns, 2009, p. 205-240.
  • R.S. Hess, « Joshua », dans J. Walton (éd.), Zondervan Illustrated Bible Backgrounds Commentary, vol. 2, Grand Rapids, Zondervan, 2009, p. 33-34 (autre analyse que je n’ai pas mentionnée dans mon livre : Hess accepte l’identification Aï=et-Tell, cependant, puisque Aï signifie « ruine », il suggère que le site n’était pas occupé en permanence mais était un « fort » où des soldats avaient réutilisé des constructions de l’âge du bronze ; d’où l’absence de découverte de structures datant proprement de l’époque de Josué).
·    P. 73, sur l’incendie du palais de Hatsor : A. Mazar, « The Patriarchs, Exodus, and Conquest Narratives in Light of Archaeology”, dans I. Finkelstein et A. Mazar, The Quest for the Historical Israel. Debating Archaeology and the History of Early Israel, édité par B. S. Schmidt, Atlanta, SBL, 2007, p. 62-63.
·    P. 74-75, sur la confusion entre le modèle de Blitzkrieg (Albright) et le récit biblique de la conquête :
  • A. Mazar, « The Patriarchs, Exodus, and Conquest Narratives in Light of Archaeoogy”, dans I. Finkelstein et A. Mazar, The Quest for the Historical Israel. Debating Archaeology and the History of Early Israel, édité par B. S. Schmidt, Atlanta, SBL, 2007, p. 61-62 (Mazar perpétue la confusion en attribuant à Josué l’affirmation que de « nombreux » sites furent détruits).
  • E.H. Cline, Biblical Archaeology. A Very Short Introduction, Oxford, Oxford University Press, 2009, p. 77 (même erreur).
  • K. Kitchen, On the Reliability of the Old Testament, Grand Rapids/Cambridge, Eerdmans, 2003, p. 160-163 (fait bien la différence).
·    P. 76 sur la date des bâtiments tripartites à piliers de Méguiddo :
  • P. L. O. Guy, New Light from Armageddon, Chicago, 1931.
  • Y. Yadin, « New Light on Solomon’s Megiddo », BA 23 (1960), p. 62-68.
  • Y. Yadin, « Megiddo », IEJ 16 (1966), p. 278-280.
  • Y. Yadin, Hazor, The Head of all these Kingdoms, Joshua 11.10. With a Chapter on Israelite Megiddo. The Schweich Lectures of the British Academy 1970, London, Oxford University Press, 1972, p. 150-164.
  • D.O. Cantrell et I. Finkelstein, « A Kingdom for a Horse. The Megiddo Stables and Eighth Century Israel », dans I. Finkelstein, D. Ussishkin et B. Halpern (éd.), Megiddo IV. The 1998-2002 Seasons (Monograph Series 24), Tel Aviv, Tel Aviv University, 2006, p. 644-645.
·    P. 77-78, sur Jéricho :
  • A. Mazar, Archaeology of the Land of the Bible. 10,000-586 B.C.E., New York/London/Toronto/Sydney/Auckland, Doubleday, 1992, p. 331.
  • K. Kitchen, On the Reliability of the Old Testament, Grand Rapids/Cambridge, Eerdmans, 2003, p. 187-188.
·    P. 78, sur le « roi » de Jéricho selon Hess : R.S. Hess, « Joshua », dans J. Walton (éd.), Zondervan Illustrated Bible Backgrounds Commentary, vol. 2, Grand Rapids, Zondervan, 2009, p. 32-33.
·    P. 79, sur Alexandre le Grand et la ziggurat de Babylone : B. André-Salvini, Babylone (Que sais-je ? 292), Paris, PUF, 2001, p. 120.
·    P. 81, sur la piscine de Siloé :
  • R. Reich et E. Shukron, « The Siloah Pool During the Second Temple Period », Qadmoniot 38 (2005), p. 91-96.
  • E. Yoel, « The Siloam Pool – ‘Solomon Pool’ – Was a Swimming Pool », PEQ 140 (2008), p. 17-25.
·    P. 82, sur Édom :
  • I. Finkelstein, «  Patriarchs, Exodus, Conquest : Fact or Fiction? », dans I. Finkelstein et A. Mazar, The Quest for the Historical Israel. Debating Archaeology and the History of Early Israel, édité par B. S. Schmidt, Atlanta, SBL, 2007, p. 47-48 (idée d’un véritable développement d’Edom au plus tôt à la fin du 8e s.).
  • N.G. Smith et T.E. Levy, « The Iron Age Pottery from Khirbat en-Nahas, Jordan: A Preliminary Study », BASOR 352 (2008), p. 41-91, spéc. 86.
  • I. Finkelstein et O. Lipschits, « The Genesis of Moab – A Proposal », Levant 43 (2011), p. 139-152, spéc. 141 (les auteurs admettent que les measures au Carbone 14 prouvent qu’il faut dater le début d’une production significative de cuivre à Khirbet en-Nahas du 12e s. et qu’elle a continué aux 11e-10e s.).
·    P. 83, sur la pseudo-couche de destruction de Samarie à la fin du 8e s. et sur l’impossibilité de dater précisément les ivoires de Samarie : R.E. Tappy, The Archaeology of Israelite Samaria. Volume II : The Eighth Century BCE (HSS 44), Winona Lake, Eisenbrauns, 2001, p. 443-495, spéc. 491-495.
·    P. 84-85, sur l’absence de traces de l’Exode, et sur le nombre des Hébreux : K. Kitchen, On the Reliability of the Old Testament, Grand Rapids/Cambridge, Eerdmans, 2003, p. 241-312.
·    P. 95, sur la pseudo-découverte de tombes de rois israélites à Samarie :
  • N. Franklin, « The Tombs of the Kings of Israel : Two Recently Identified 9th-Century Tombs from Omride Samaria », ZDPV 119 (2003), p. 1-11.
  • N. Franklin, « Samaria: from the Bedrock to the Omride Palace », Levant 36 (2004), p. 189-202.
  • N. Franklin, « Lost Tombs of the Israelite kings », BAR 33/4 (2007), p. 26-35.
  • D. Ussishkin, « Megiddo and Samaria : A Rejoinder to Norma Franklin », BASOR 348 (2007), p. 49-70.
  • N. Franklin, « Response to David Ussishkin », BASOR 348 (2007), p. 71-73.

Chapitre 4 : Quels types de rapports entre la Bible et l’archéologie ?
·    P. 86, pour un récit bref et savoureux des débuts de l’archéologie en Mésopotamie, à la recherche de cités mentionnées dans la Bible (Ninive…) : M. Fales, Guerre et paix en Assyrie. Religion et impérialisme (Conférences de l’EPHE), Paris, Cerf, 2010, p. 27-47.
·    Pour un survol plus large de l’histoire de l’archéologie en Palestine/Israël des débuts à nos jours, on peut lire : E.H. Cline, Biblical Archaeology. A Very Short Introduction, Oxford, Oxford University Press, 2009, p. 13-68.
·    P. 86, le livre de Keller dans la dernière édition française, de poche : W. Keller, La Bible arrachée aux sables (Tempus 110), Paris, Perrin, 2005.
·    P. 90, sur Dever et le rejet de l’expression « biblical archaeology » : E.H. Cline, Biblical Archaeology. A Very Short Introduction, Oxford, Oxford University Press, 2009, p. 54-55.
·    P. 91, sur les minimalistes, voici deux exemples de leurs ouvrages :
  • T.L. Thompson, The Mythic Past. Biblical Archaeology and the Myth of Israel, New York, Basic Books, 1999.
  • P.R. Davies, In Search of Ancient Israel (JSOTSup 148), Sheffield, JSOT Press, 1992.
·    P. 92, sur la comparaison linguistique entre la plupart des textes de l’Ancien Testament (en prose particulièrement) et les inscriptions en paléo-hébreu de l’âge du fer, on peut consulter les travaux de Hurvitz etc., mais aussi comparer avec la grammaire du paléo-hébreu établie à partir des inscriptions par Gogel :
  • A. Hurvitz,  « The Historical quest for ‘ancient Israel’ and the linguistic evidence of the Hebrew Bible :     some methodological observations », VT 47 (1997), p. 301-315.
  • A. Hurvitz, « The Relevance of Biblical Hebrew Linguistics for the Historical Study of Ancient Israel », dans R. Margolin (éd.), Proceedings of the Twelfth World Congress of Jewish Studies, Division A, Jerusalem, World Union of Jewish Studies, 1999, p. 21*-33*.
  • A. Hurvitz, « Can Biblical Texts Be Dated Linguistically ? Chronological Perspectives in the Historical Study of Biblical Hebrew », dans A. Lemaire et M. SaebØ (éd.), Congress Volume Oslo 1998, VTSup 80, 2000, p. 143-160.
  • G.A. Rendsburg, « Hurvitz Redux : On the Continued Scholarly Inattention to a Simple Principle of Hebrew Philology », dans I. Young (ed.) Biblical Hebrew. Studies in Chronology and Typology, JSOTSup 369, London, T & T Clark, 2003, p. 104-128.
  • E.Y. Kutscher, A History of the Hebrew Language, Jerusalem-Leiden, 1982.
  • S.L. Gogel, A Grammar of Epigraphic Hebrew (SBL Resources for Biblical Studies 23), Atlanta, Scholars Press, 1998.
·    P. 92, sur Finkelstein, Na’aman et le rôle de l’archéologie vis-à-vis de la Bible :
·    P. 95, sur Finkelstein revendiquant le droit à mettre des découvertes matérielles en rapport avec des affirmations de la Bible : I. Finkelstein et N. A. Silberman, La Bible dévoilée. Les nouvelles révélations de l’archéologie (Folio Histoire), Paris, Gallimard, 2007 [1ère éd. Française : Bayard, 2002], p. 500-501.
·    P. 95-96 sur Reich et Shanks au sujet des fouilles d’E. Mazar :
  • H. Shanks, « The Bible as a Source of Testable Hypotheses », BAR 37.4 (2001), p. 6, 70; en reaction à des affirmations de:
  • R. Reich, Excavating the City of David. Where Jerusalem’s History Began, Jerusalem, Israel Exploration Society/Biblical Archaeology Society, 2011.
·    P. 98, sur la découverte de ruches à Tel Réhov : A. Mazar et N. Panitz-Cohen, « It is the Land of Honey : Beekeeping at Tel Rehov », NEA 70 (2007), p. 202-219.
·    P. 98, sur l’adage cité : Exergue au Nouveau Testament interlinéaire grec/français établi par M. Carrez (Paris, Alliance Biblique Universelle, 1994), sans précision sur son auteur.
·    P. 99, sur la stèle représentant Jéhu ou son ambassadeur : elle se trouve sur le fameux obélisque noir de Salmanasar III (CoS 2.113F), qui se trouve au British Museum et que l’on peut visualiser sur le site du musée.
·    P. 100, citation de E.H. Cline : Biblical Archaeology: A Very Short Introduction, Oxford, Oxford University Press, 2009, p. 75-76.
·    P. 103, citation de KA. Kitchen: On the Reliability of the Old Testament, Grand Rapids/Cambridge, Eerdmans, 2003, p. 500.
·    P. 104-105, le livre de Grabbe et les pages concernées : L.L. Grabbe, Ancient Israel. What Do We Know and How Do We Know It ?, Londres, T&T Clark, 2007, p. 123-166, spéc. 164-166.
·    P. 105-106, sur les différentes analyses possibles de 1 Rois 20 :
  • Exemple de chercheur considérant qu’il ne faut pas dater le conflit en 856 : M. Cogan, 1 Kings (AB 10), New York, Doubleday, 2001, p. 474.
  • Exemple de chercheur datant le conflit de 856 mais sans y voir un problème historique : M. Sweeney, I&II Kings (OTL), Louisville, John Knox Press, 2007, p. 240.
  • Idée que le récit se rapportait primitivement à Bar-Hadad fils de Hazaël :
ü  A. Jepsen, « Israel und Damaskus », AfO 14 (1942), p. 154-158.
ü  J. Gray, I and II Kings (OTL), 3ème éd., Philadelphia, Westminster, 1979, p. 414-415.
ü  A. Lemaire, « La stèle araméenne de Bar-Hadad », Orientalia 53 (1984), p. 345.
ü  V. Fritz, 1 & 2 Kings (Continental Commentaries), Minneapolis, Fortress Press 2003, p. 204-205.
  • Voir aussi M. Richelle, Le Testament d’Élisée. Texte massorétique et Septante en 2 R 13.10-14.16 (CahRB 76), Pendé, Gabalda, 2010, p. 135-137.
·    P. 107, la citation de E. H. Cline : Biblical Archaeology: A Very Short Introduction, Oxford, Oxford University Press, 2009, p. 88.
·    P. 108, les citations de Millard proviennent respectivement de :
  • A.R. Millard, « La Bible et l’archéologie : amies ou ennemies ? », Théologie Évangélique 7 (2008), p. 104.
  • A.R. Millard, La Bible avant notre ère. Le témoignage de l’archéologie, Lausanne, Presses Bibliques Universitaires, 1983, p. 88.

Chapitre 5 : Les débats actuels sur l’époque de David et Salomon
·    De manière générale, la bibliographie sur ce sujet est immense. Comme les principaux acteurs du débat (I. Finkelstein et A. Mazar) ont présenté et répété leurs vues dans de multiples publications, il aurait été possible mais fastidieux de citer, pour une affirmation donnée, plusieurs publications dans lesquelles ils la font. Je l’ait fait quelques fois, mais j’ai surtout veillé à donner au moins une référence pour chaque affirmation.
·    P. 110, livres et film diffusant les thèses de Finkelstein :
  • I. Finkelstein et N. A. Silberman, La Bible dévoilée. Les nouvelles révélations de l’archéologie (Folio Histoire), Paris, Gallimard, 2007 [1ère éd. Française : Bayard, 2002].
  • Série de T. Ragobert et I. Morgensztern diffusée sur France 5 et parue dans un coffret de deux DVD (éditions Montparnasse).
  • I. Finkelstein et N. A. Silberman, Les rois sacrés de la Bible. A la recherche de David et Salomon, Paris, Bayard, 2006 (éd. orig. américaine même année)
  • I. Finkelstein, Un archéologue au pays de la Bible, Paris, Bayard, 2008.
·    P. 110 (et p. 111-112 la citation), article scientifique où Finkelstein introduisit son hypothèse : I. Finkelstein, « The Archaeology of the United Monarchy : An alternative View », Levant 28 (1996), p. 177-187 (p. 177 pour la citation).
·    P. 110-122 en général, pour des exposés de la théorie de Finkelstein, outre les références ci-dessus :
  • I. Finkelstein, « A Low Chronology Update. Archaeology, History and Bible », dans T.E. Levy et T. Higham (éd.), The Bible and Radiocarbon Dating. Archaeology, Text and Science, London/Oakville, Equinox, 2005, p. 38-39.
  • I. Finkelstein, « King Solomon’s Golden Age : History or Myth ? », dans I. Finkelstein – A. Mazar, The Quest for the Historical Israel. Debating Archaeology and the History of Israel, édité par Brian B. Schmidt (Archaeology and Biblical Studies 17), Atlanta, SBL, 2007, p. 107-114.
·    P. 112, citation d'A. Millard, « The Bible and Archaeology : Friends or Foes ? », Faith & Thought 43 (2007),  p. 21.
·    P. 113 : voir le numéro 96 de la revue Hokhma, intitulé: « David et Salomon devant l’histoire » (voir le site de la revue), où figurait un article du présent auteur : M. Richelle, « Comment la ‘chronologie basse’ d’I. Finkelstein est-elle reçue parmi les archéologues ? », Hokhma 96 (2009), p. 37-56.
·    P. 114, citation de Z. Zevit : The Religions of Ancient Israel : A Synthesis of Parallactic Approaches, London/New York, Continuum, 2001, p. 108, note 38.
·    P. 114, citation d'A. Lemaire : « Compte-rendu de I. Finkelstein et N. A. Silverman, La Bible dévoilée », Revue des Etudes Juives 163 (2004), p. 531.
·    P. 115, citation de J. Briend : « Compte-rendu de I. Finkelstein et N. A. Silberman, La Bible dévoilée », Esprit et Vie 67 (2002), p. 5.
·    P. 115, liste fournie par Finkelstein :
  • I. Finkelstein et N. A. Silberman, « The Bible Unearthed : A Rejoinder », BASOR 327 (2002), p. 67-68.
  • I. Finkelstein, « A Low Chronology Update. Archaeology, History and Bible », dans T.E. Levy et T. Higham (éd.), The Bible and Radiocarbon Dating. Archaeology, Text and Science, London/Oakville, Equinox, 2005, p. 38-39.
·    P. 115-116, sur la position divergente de B. Halpern : elle apparaît aussi bien dans le rapport officiel des fouilles (Megiddo III) que dans des publications ultérieures :
  • B. Halpern, « Centre and Sentry : Megiddo’s Role in Transit, Administration and Trade », dans I. Finkelstein, D. Ussishin et B. Halpern (éd.), Megiddo III, vol.2, Tel Aviv, 2000, p. 558.
  • B. Halpern, « The Gate of Megiddo and the Debate on the 10th Century », dans A. Lemaire (éd.), Congress Volume : Oslo 1998 (VTSup 80), Leiden/Boston/Köln, 2000, p. 79-121.
  • B. Halpern, David’s Secret Demons. Messiah, Murderer, Traitor, King, Grand Rapids/Cambridge, Eerdmans, 2001, p. 427-478.
·    P. 116 sur la position divergente d’Ussishkin : voir plus bas au sujet de la p. 122.
·    P. 116, les citations de Dever et de Halpern sont tirées de la double recension suivante : W. Dever et B. Halpern, « Review of L. L. Grabbe, Ancient Israel », BASOR 357 (2010), p. 77 et 81 respectivement.
·    P. 116-117, manuel et citation de Ben-Tor : 
  • A. Ben-Tor (éd.), The Archaeology of Ancient Israel, New Haven/London, Yale University Press, 1992.
  • A. Ben-Tor et D. Ben-Ami, « Hazor and the Archaeology of the Tenth Century b.c.e. », IEJ 48 (1998), p. 30.
·    P. 117-118, sur les fondements de la datation classique, leur remise en cause et la théorie de Finkelstein, voir les références aux travaux de ce dernier déjà citées plus haut, mais aussi (avec un avis  contraire mais offrant un exposé riche sur les deux positions) : B. Halpern, David’s Secret Demons. Messiah, Murderer, Traitor, King, Grand Rapids/Cambridge, Eerdmans, 2001, p. 427-478.
·    P. 118-119, sur l’arrivée des Philistins :
  • I. Finkelstein, « The Date of the Settlement of the Philistines in Canaan », Tel Aviv 22 (1995), p. 213-239.
  • I. Finkelstein, « The Archaeology of the United Monarchy : An alternative View », Levant 28 (1996), p. 180.
  • Contre l’idée que des formes de céramique devraient nécessairement apparaître sur des sites proches (même ethniquement différents) :
ü  Mazar, « Iron Age Chronology : A Reply to I. Finkelstein », Levant 29 (1997), p. 158.
ü  A. Ben-Tor et D. Ben-Ami, « Hatsor and the Archaeology of the Tenth Century b.c.e. », op. cit., p. 30-31.
ü  W. Dever, « Archaeology, Ideology and the Quest for an ‘Ancient’ or ‘Biblical’ Israel », NEA 61 (1998), pp. 47-50.
ü   S. Nunimovitz et A. Faust, « Chronological Separation, Geographical Segregation or Ethnic Demarcation ? Ethnography and the Iron Age Low Chronology », BASOR 322 (2001), p. 1-10.
ü  A. Millard, « The Bible and Archaeology : Friends or Foes ? », Faith & Thought 43 (2007),  p. 21: « La chronologie de Finkelstein pour la céramique semble trop rigide, s’attendant à ce que des formes identiques changent au même moment sur chaque site. Son affirmation selon laquelle les Philistins ne se sont pas installés au sud-ouest de Canaan avant une date tardive dans le douzième siècle est très douteuse ».

  • Sur le fait que les directeurs de fouilles de Gath, Ekron et Ashkelon n’ont pas adopté la chronologie basse, on peut consulter :
ü  les articles relatifs à chaque site dans l’encyclopédie NEAEHL ;
ü  les sites internet officiels des fouilles, qui fournissent rapports préliminaires et listes des publications :Gath ; voir aussi ici ; Ekron ; Ashkelon).
ü  Noter que le rapport définitif des fouilles d’Ashkelon, en deux volumes, est disponible en ligne : L.E. Stager, J.D. Schloen et D.M. Master, Ashkelon 1, Winona Lake, Eisenbrauns, 2008 ; B.L. Johnson, Ashkelon 2, Winona Lake, Eisenbrauns, 2008 [Voir le vol. 1, p. 216-217, pour la chronologie adoptée par les fouilleurs].
·    P. 120, sur le  fait que le verset 1 Rois 9.15 est généralement considéré comme provenant d’une annale royale (« pré-deutéronomiste ») : voici une liste (partielle) de commentateurs de cet avis :
  • J.A. Montgomery et H.S. Gehman, A Critical and Exegetical Commentary on the Book of Kings (ICC), Edinburg, T & T Clark, 1951, p. 205.
  • M. Noth, Könige I (BK.AT IX/1), Neukirchen/Vluyn, Neukirchener Verlag, 1968, p. 208;
  • J. Gray, I and II Kings (OTL), Philadelphia, Westminster, 1970², p. 239.
  • P. Buis, Le livre des Rois (Sources Bibliques), Paris, Gabalda, 1997, p. 93.
  • M. Mulder, I Kings, vol. 1 (HCOT I/I), Leuven, Peeters, 1998, p. 472.
  • M. Cogan, I Kings (AB 10), New York, Doubleday, 2000, p. 307-308.
  • S. J. De Vries, 1 Kings (WBC 12), Waco, Word Books, 2003, p. 131.
·    P. 120, sur l’avis d’Ussishkin :
  • D. Ussishkin, « Was the ‘Solomonic’ City Gate at Megiddo Built by King Solomon ? », BASOR 239 (1980), p. 17 (article pionnier sur le sujet).
  • I. Finkelstein et D. Ussishkin, « Archaeological and Historical Conclusions », dans d’I. Finkelstein, D. Ussishkin et B. Halpern (éd.), Megiddo III. The 1992-1996 Seasons (Monograph Series 18), Tel Aviv, Tel Aviv University, 2000, vol. 2, p. 600.
·    P. 121, sur Dever et la datation de la porte de Guézer : W.G. Dever, What Did the Biblical Writers Know and When Did They Know It ? What Archaeology Can Tell Us about the Reality of Ancient Israel, Grand Rapids/Cambridge, Eerdmans, 2001, p. 131-135.
·    P. 121, sur l’avis de Mazar, lire (par exemple) : A. Mazar, « The Search for David and Solomon : An Archaeological Perspective », dans I. Finkelstein – A. Mazar, The Quest for the Historical Israel. Debating Archaeology and the History of Israel, édité par Brian B. Schmidt (Archaeology and Biblical Studies 17), Atlanta, SBL, 2007, p. 131.
·    P. 121, sur l’avis de Halpern : cf. références mentionnées ci-dessus au sujet des p. 115-116.
·    P. 121-122, sur le synchronisme de Finkelstein, outre les références habituelles, voir : I. Finkelstein, « Omride Architecture », ZDPV 116 (2000), p. 114-138.
·    P. 122, sur l’idée défendue que la céramique en question a pu être en usage déjà au 10e s. :
  • A. Mazar, « The Debate over the Chronology of the Iron Age in the Southern Levant. Its History, the Current Situation, and a Suggested Resolution », dans T.E. Levy et T. Higham (éd.), The Bible and Radiocarbon Dating, London/Oakville, Equinox, 2005, p. 19.
  • B. Halpern, « The Gate of Megiddo and the Debate on the 10th Century », dans A. Lemaire (éd.), Congress Volume : Oslo 1998 (VTSup 80), Leiden/Boston/Köln, 2000, p. 102.
·    P. 122, sur les marques de maçonnerie :
  • A. Mazar, « The Debate over the Chronology of the Iron Age in the Southern Levant. Its History, the Current Situation, and a Suggested Resolution », dans T.E. Levy et T. Higham (éd.), The Bible and Radiocarbon Dating, London/Oakville, Equinox, 2005, p. 21-22.
  • Voir aussi : D. A. Frese et D. N. Freedman, « Samaria I as a Chronological Anchor », dans J. Aviram et al. (éd.) Ephraim Stern Volume (Eretz-Israel 29), Jerusalem, Israel Exploration Society, 2009, par  p. *36-*44.
·    P. 122, sur le désaccord d’Ussishkin : D. Ussishkin, « Samaria, Jezreel and Megiddo : Royal Centres of Omri and Ahab », dans L.L. Grabbe (éd.) Ahab Agonistes. The Rise and Fall of the Omri Dynasty (LHB/OTS 421), London/New York, T&T Clark, 2007, p. 305-306.
·    P. 122-123, sur le rejet de la « compression » des strates :
  • A. Zarzeki-Peleg, « Hatsor, Jokneam and Megiddo in the Tenth Century B.C.E », Tel Aviv 24 (1997), p. 258-288.
  • A. Ben-Tor et D. Ben-Ami, « Hatsor and the Archaeology of the Tenth Century B.C.E. », IEJ 48 (1998), p. 32.
  • A. Mazar et J. Camp, « Will Tel Rehov Save the United Monarchy ? », BAR 26/2 (2000), p. 50.
·    P. 123, sur le problème des sites judéens (Arad, Khirbet Qeiyafa, Khirbet en-Nahas) :
·    P. 123, sur la fin du Fer IIA :
  • A. Fantalkin et I. Finkelstein, « The Sheshonq I Campaign and the 8th-Century-BCE Earthquake – More on the Archaeology and History of the South in the Iron I-IIA », TA 33 (2006), p. 22-24.
  • A. Mazar, « The Debate over the Chronology of the Iron Age in the Southern Levant. Its History, the Current Situation, and a Suggested Resolution », dans T.E. Levy et T. Higham (éd.), The Bible and Radiocarbon Dating, London/Oakville, Equinox, 2005, p. 16.
·    P. 124, sur la « chronologie conventionnelle modifiée » et ceux qui l’adoptent, voir l’article de Mazar cité immédiatement ci-dessus, mais aussi, plus récemment :
·    P. 124-125, sur Knauf qui affirmait en 2002 que le problème était résolu grâce au Carbone 14 : E.-A. Knauf, « Low and Lower ? New Data on Early Iron Age Chronology from Beth Shean, Tel Rehov and Dor », BN 112 (2002), p. 21-27.
·    P. 125, citation de Finkelstein : I. Finkelstein et E. Piasetzky, « The Iron Age Chronology Debate : Is the Gap Narrowing ? », NEA 74/1 (2011), p. 50-54, spéc. 52.
·    P. 126, citation de Mazar : A. Mazar, « The Iron Age Chronology Debate : Is the Gap Narrowing ? Another Viewpoint », NEA 74/2 (2011), p. 105-111, spéc. 106.
·    P. 129-131, sur les fouilles d’E. Mazar dans la cité de David :
·    P. 130-131, sur l’idée de situer la zone des bâtiments publics du temps de David et Salomon sur le mont du Temple : I. Finkelstein, I. Koch et O. Lipschits, « The Mound on the Mount : A Possible Solution to the “Problem with Jerusalem” », Journal of Hebrew Scriptures 11 (2011), article 12, en ligne [voir p. 3 pour les citations de Na’aman et Knauf].

Chapitre 6 : L’archéologie et la rédaction de la Bible
·    P. 134, pour des inventaires des rares inscriptions ouest-sémitiques antérieures au 8e s. trouvées sur le territoire de l’ancien Israël et ses abords immédiats :
·    P. 134-135, citation de Finkelstein : I. Finkelstein et N. A. Silberman, La Bible dévoilée. Les nouvelles révélations de l’archéologie (Folio Histoire), Paris, Gallimard, 2007 [1ère éd. Française : Bayard, 2002], p. 270.
·    P. 135, sur A. Lemaire, voir (outre la citation p. 138) : B. Halpern et A. Lemaire, « The Composition of Kings », dans B. Halpern et A. Lemaire, The Books of Kings (VTSup 129), Leiden/Boston, Brill, 2010, p. 123-153, spéc. 152.
·    P. 135, sur Millard et l’écriture en Juda à l’âge du Fer, citons parmi de nombreuses publications :
  • A. Millard, « Literacy (Israel) », dans ABD IV, p. 337-340.
  • A. Millard, « The Knowledge of Writing in Iron Age Palestine », Tyndale Bulletin 46, 1995/2, p. 207-217.
  • A. Millard, « The Knowledge of Writing in Late Bronze Age Palestine », dans K. van Lerberghe et G. Voet (éd.), Languages and Cultures in Contact. At the Crossroads of Civilizations in the Syro-Mesopotamian Realm, Proceedings of the 42nd RAI, Leuven, Peeters, 1999, p. 317-326.
  • A. Millard, « Books and Writings in King », dans B. Halpern et A. Lemaire, The Books of Kings (VTSup 129), Leiden/Boston, Brill, 2010, p. 155-160.
·    P. 135, sur C. Rollston, voir plus bas au sujet des p. 143-144.
·    P. 136, sur les fragments de stèles découvertes à Samarie et à Jérusalem:
  • N. Avigad, « Samaria (City) », dans NEAEHL 4, New York, Simon and Schuster, 1993, p. 1304.
  • F.M. Cross, « A Fragment of a Monumental Inscription from the City of David », IEJ 51 (2001), p. 44-47.
  • J. Naveh, « Hebrew and Aramaic Inscriptions », dans D.T. Ariel (éd.), Excavations at the City of David, 1978-1989, directed by Yigal Shiloh, VI: Inscriptions (Qedem 41), Jerusalem, 2000, p. 1-2.
  • R. Reich et E. Shukron, « A Fragmentary Palaeo-Hebrew Inscription from the City of David, Jerusalem », IEJ 58 (2008), p. 48-50.
·    P. 136, sur le rôle du hasard dans les découvertes : A. Millard, « Only Fragments from the Past : the Role of Accident in our Knowledge of the Ancient Near East », dans P. Bienkowski, C. Mee, E. Slater, Writing and Ancient Near Eastern Society. Papers in Honour of Alan R. Millard, New York/London, T&T Clark, 2005, p. 301-319.
·    P. 136, sur l’idée de reconstruire les origines des premiers livres bibliques en situant la première grande étape sous Ezéchias, voir le livre suivant : W. Schniedewind, Comment la Bible est devenue un livre. La révolution de l’écriture et du texte dans l’ancien Israël, trad. de l’anglais par S. et M. Montabrut, Paris, Bayard, 2004.
·    P. 136-137, sur les bulles découvertes en 2007: R. Reich, E. Shukron et O. Lernau, « Recent Discoveries in the City of David », IEJ 57 (2007), p. 153-169.
·    P. 137, l’idée d’une corrélation entre développement du pays et apparition d’une littérature a été défendue et diffusée par l’ouvrage suivant : D. W. Jamieson-Drake, Scribes and Schools in Monarchic Judah. A Socio-Archaeological Approach (The Social World of Biblical Antiquity Series 9, JSOTSup 109), Sheffield, Sheffield Academic Press, 1991.
·    P. 137-138, sur le contre-exemple des lettres d’El-Amarna :
·    P. 138-139, sur l’écriture de la stèle de Mésha : C.A. Rollston, Writing and Literacy in the World of Ancient Israel. Epigraphic Evidence from the Iron Age (SBL Archaeology and Biblical Studies 11), Atlanta, SBL, 2010, p. 54.
·    P. 139-140, sur la tablette de l’épopée de Gilgamesh trouvée à Méguiddo : R.J. Tournay et A. Shaffer, L’épopée de Gilgamesh (LAPO 15), Paris, Cerf, 1994, p. 174-177.
·    P. 140, sur les tablettes cunéiformes trouvées en Canaan, voir l’inventaire suivant : W. Horowitz, T. Oshima, S.L. Sanders, Cuneiform in Canaan, Jerusalem, Israel Exploration Society, 2006.
·    P. 140, sur l’inscription d’Izbet Sartah (voir CoS 1.107)
  • M. Kochavi, « An Ostracon of the Period of the Judges from ‘Izbet arta », Tel Aviv 4 (1977), p. 1-13.
  • A. Demsky, « A Proto-Canaanite Abecedary Dating from the Period of the Judges and its Implications for the History of the Alphabet », Tel Aviv 4 (1977), p. 14-27.
·    P. 140, sur la tablette de Guézer : CoS 2.85 et bibliographie indiquée.
·    P. 140, sur l’abécédaire de Tel Zayit:
  • R.E. Tappy, P.K. McCarter, M.J. Lundberg, B. Zuckerman, « An Abecedary of the Mid-Tenth Century B.C.E. from the Judaean Shephelah », BASOR 344 (2006), p. 5-46.
  • R. Tappy/P. Kyle McCarter (éd.), Literate Culture and Tenth-Century Canaan. The Tel Zayit Abecedary  in Context, Winona Lake, Eisenbrauns, 2008 (cf. ma recension dans RB 117 (2010), p. 126-131).
·    P. 140, sur l’ostracon de Khirbet Qeiyafa, voir plus haut au sujet des p. 67-68.
·    P. 140, citation d'A. Millard : « The Knowledge of Writing in Late Bronze Age Palestine », dans K. van Lerberghe et G. Voet (éd.), Languages and Cultures in Contact, Leuven, Peeters, 1999, p. 217.
·    P. 141, sur Na’aman et l’invasion de Shéshonq : N. Na’aman, « Sources and Composition in the History of David », dans V. Fritz et P.R. Davies (éd.), The Origins of the Ancient Israelite States (JSOTSup 228), Sheffield, Sheffield Academic Press, 1996, p. 59-64, 77.
·    P. 141, citation de W. Schniedewind : Comment la Bible est devenue un livre. La révolution de l’écriture et du texte dans l’ancien Israël, trad. de l’anglais par S. et M. Montabrut, Paris, Bayard, 2004, p. 31.
·    P. 141-142, citation de N. Na’aman : « Sources and Composition in the History of David », dans V. Fritz et P.R. Davies (éd.), The Origins of the Ancient Israelite States (JSOTSup 228), Sheffield, Sheffield Academic Press, 1996, p. 170-171.
·    P. 142, sur Schniedewind et l’inexistence de « longs textes » avant le 8e s. : W. Schniedewind, Comment la Bible est devenue un livre. La révolution de l’écriture et du texte dans l’ancien Israël, trad. de l’anglais par S. et M. Montabrut, Paris, Bayard, 2004, p. 70 ; 78-79.
·    P. 142, sur Caquot : A. Caquot et P. de Robert, Les livres de Samuel (CAT 9), Genève, Labor et Fides, 1994.
·    P. 142, sur Vermeylen : J. Vermeylen, La loi du plus fort. Histoire de la rédaction des récits davidiques de 1 Samuel 8 à 1 Rois 2, (BETL 154), Leuven/Paris, Leuven University Press/Peeters, 2000, p. 688.
·    P. 142-143, sur Halpern :
  • B. Halpern, David’s Secret Demons. Messiah, Murderer, Traitor, King, Grand Rapids/Cambridge, Eerdmans, 2001, p. 57-72.
  • B. Halpern et A. Lemaire, « The Composition of Kings », dans B. Halpern et A. Lemaire, The Books of Kings (VTSup 129), Leiden/Boston, Brill, 2010, p. 123-153, spéc. 152.
·    P. 143, sur Hutton : J.M. Hutton, The Transjordanian Palimpsest (BZAW 396), Berlin/New York, de Gruyter, 2009, p. 168-175 (sur la possibilité de récits dès le 10e s.), 364-366 (sur les premiers récits datés par lui du 10e s.).
·    P. 143, sur l’apprentissage standardisé des scribes israélites, outre le livre cité ensuite, voir : C.A. Rollston, « Scribal Education in Ancient Israel », BASOR 344 (2006), p. 47-74.
·    P. 143-144, citations de C.A. Rollston: Writing and Literacy in the World of Ancient Israel. Epigraphic Evidence from the Iron Age (SBL Archaeology and Biblical Studies 11), Atlanta, SBL, 2010, p. 134-135.